ORLAN : “Je jouis quand on me dit que je suis belle”
Le soir tombait sur Paris, et les immeubles du 5e jaunissaient doucement sous les éclairages artificiels. On m’indiqua le premier étage. Là : une salle vitrée au sein de laquelle une table oblongue en bois clair donnait au moment l’intensité d’une assemblée, ou d’une secte, c’est à voir.